Bruno Sulak est un voyou au grand cœur. D’abord légionnaire, puis voleur multirécidiviste, il a toujours réussi à ne pas utiliser la violence comme fait d’arme, même durant ses évasions spectaculaires.
Quand on lui demande s'il n'a pas eu tendance à embellir sa vie pour la rendre plus fascinante, il répond: «Non. Je n'ai jamais menti. Sauf aux juges et aux policiers !».
Georges Boucheseiche est l’homme de toutes les embrouilles. D’un passage à la Gestapo, il a atterri dans le gang des Tractions Avant à la Libération. Gangster aguerri, il devient un «barbouze» dans les années 60.
Mesrine, gangster mégalo? C'est en tout cas ce qu'on dit de lui. Arrogant et charmeur, il aimait se donner en spectacle, s'inventer des méfaits qu'il n'avait pas commis, se décrire plus terrible qu'il ne l'était vraiment.
John Dillinger et son gang ont multiplié les braquages de banques, laissant plusieurs cadavres sur leur passage. Ses multiples évasions ont fait enrager le FBI qui le déclara «premier ennemi public n°1» et organisa sa traque.
Pendant 2 ans, Jules Bonnot, petit mécanicien anarchiste, a défrayé la chronique avec ses braquages sanglants. Aidé par ceux que l’on a appelés «la bande à Bonnot», ils ont volé et tué plusieurs personnes, sous l’égide de l’anarchisme.